Alors qu'Albertine Ralenti continue avec talent la mise en couleur du premier tome de Tahia El-Djazaïr, Cyril Bonin vient d'achever celle de Quand souffle le vent...
Lorsque Cyril avait terminé les 54 planches en noir et blanc, j'avais déjà été saisi d'un étrange sentiment ; les couleurs terminées, c'est encore une nouvelle impression... Indéfinissable...
Encore quelques semaines d'attente et nous tiendrons notre livre entre les mains...
1 commentaire:
Il se dégage de cette dernière case un étrange sentiment déjà. Je partage votre impatience de tenir ce livre entre mes mains (même si c'est pas forcément comparable, je l'admets volontiers ;)).
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