3 panoramiques silencieux… Ou quand la case appelle la musique…
Issus respectivement de Kheshalya, Tahai El-Djzaïr et l’Enfant Maudit, ces trois panoramiques sont sans dialogue. Cependant ils laissent imaginer des bandes sonores, bruitages ou musique. Un air de violon écrit par E. Morricone se prêterait bien au premier, quelques accords joués en arpège (à la Brassens) accompagneraient l’agitation de la salle de classe et, simplement, les bruits d’un café après que les habitués aient quitté le zinc conviendraient au dernier. Non ? :o)
1 commentaire:
Tu devrais peut-être inclure un CD avec l'album... ;)
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